Frédéric Régent et Marion Godfroy-Tayart de Borms se sont rencontré lors d’un colloque à Cayenne. Depuis, ils se croisent régulièrement au gré de leurs publications scientifiques
Chacun affirme un univers de recherches, d’écritures et des curiosités propres. Le goût de la transmission et du rayonnement de l’histoire des Outre-mer, tout comme le respect de l’autre et de ses convictions les réunit.
Maître de conférences et directeur de recherche à l’école d’Histoire de la Sorbonne, Frédéric Régent enseigne à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne au sein de l’Institut d’histoire de la Révolution française et de l’Institut d’histoire moderne et contemporaine (CNRS, École Normale Supérieure, Université Paris 1).
Supérieure, Université Paris 1).
Spécialiste des sociétés esclavagistes dans les colonies françaises du XVIIe au XIXe siècles, sa thèse a été publiée aux éditions Grasset en 2004, comme son habilitation à diriger des recherches aux éditions Tallandier en 2019.
Président du Comité national pour la mémoire et l’histoire de l’esclavage (2016- 2019), fondateur du fonds de dotation Henri Grégoire-Germain Porte et président de l’association pour l’étude de la colonisation européenne, Frédéric Régent s’investit administrativement et scientifiquement pour défendre une histoire des Outre-mer au-delà des simples lectures convenues ou mythiques habituelles.
François Régent est conseiller scientifique du Mémorial des Tuileries, nommé par le Premier ministre.
Lauréate du Prix Antonin Carême, chercheur associé à l’Institut d’histoire moderne et contemporaine (École Normale Supérieure), Marion Godfroy-Tayart de Borms est spécialiste de l’histoire politique, culturelle et atlantique de la France (XVIIIe-XXe siècles). Elle a enseigné à l’université d’Amiens et de Tours.
Docteur en histoire de l'EHESS, Marion Godfroy mène des travaux qui obéissent à chaque fois à une même exigence – être pionnière de l’étude d’un champ – et une même méthode – diffuser les résultats obtenus sous différentes formes et applications académiques comme non académiques. Ils ont un point commun, l’étude des circulations (politiques, culturelles, matérielles) entre l’Europe et l’Amérique à travers différents objets.
Au département d'histoire de l'Ecole normale supérieure de Paris, elle a ouvert le dossier de l'histoire des bagnes coloniaux en s'adossant non plus à une historiographie d'histoire pénale mais d'histoire culturelle. Cette méthode lui a permis de renouveler l'approche de l'expédition de Kourou de 1763. Ces recherches ont fait l'objets de publications, en français comme en anglais.
Parallèlement, elle a forgé une expérience de l'enseignement à différents niveaux, pour des publics académiques comme non académiques. Très attachée à la vulgarisation de l'Histoire à destination du grand public, elle a régulièrement publié dans ce cadre(Storiavoce ,L’Histoire, France 2)
Ses recherches (H.D.R) portent également en histoire des pratiques et cultures alimentaire et l'étude de la figure du cuisinier comme le signale ses publications les plus récentes. Ses ouvrages sont traduits en anglais, en portugais, en russe et en coréen. Marion Godfroy dirige par ailleurs la collection "Biographie Gourmande" aux éditions Payot, qu’elle a fondée afin de renouveler par le genre biographique les approches de l’histoire de la gastronomie.
Ouvrages d’art
Direction de collectifs et collections
Le jury est formé de docteurs en histoire, de journalistes, d’enseignants, d’amateurs d’histoire au sens noble du terme. Le lauréat entre de droit au jury. Tous ont en commun un savoir, une idée, une ambition pour un prix qu’ils défendent avec enthousiasme.
Annette Becker est professeur émérite des universités. Membre de l'historial de Péronne, Annette Becker s'est spécialisée dans l'étude de la Première Guerre mondiale et de ses représentations culturelles, religieuses en particulier.
Depuis les années 1990, Annette Becker a élargi son champ de recherche, développant tout particulièrement l'étude du trauma, des enjeux mémoriels, des violences extrêmes contre les civils et des génocides, d'une guerre mondiale à l'autre.
Dans Messagers du désastre (Fayard, 2018), elle étudie le rôle de Jan Karski et de Raphael Lemkin pendant la Deuxième guerre mondiale. Par-delà le parcours de ces deux figures polonaises, qu'on peut qualifier de "lanceurs d’alerte", elle se demande pourquoi leur message et leur dénonciation de la Shoah furent inaudibles.
Carole Bienaimé-Besse débute sa carrière en 1996 au département Communication de Sotheby’s France avant de rejoindre La Compagnie des Phares et Balises et Panoptique pour y devenir directrice de production de films documentaires pour la BBC, de fictions TV et cinéma, et de vidéos musicales pour les groupes Universal et Virgin. Elle ne quittera plus cette voie.
Elle est aujourd’hui productrice, cinéaste, membre du Conseil supérieur de l’audiovisuel.
Docteur en histoire, chercheur associé en archéologies et sciences de l’Antiquité, CNRS, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Elisée Coulibaly est l’auteur d’une thèse Savoirs et savoir-faire des anciens métallurgistes : Recherches interdisciplinaires sur les procédés en sidérurgie directe dans le Bwamu (Burkina Faso-Mali) : une contribution à l’histoire des techniques en Afrique, soutenue en 1997 et publiée aux éditions Karthala.
Co-fondateur du Prix de thèse de la Société savante des Africanistes, il en fut président de 2009 à 2016 puis vice-président.
Ancien élève de l’Ecole national des Chartes (promotion 1998), ancien membre de la Casa Velazquez, il soutient en 1998 une thèse intitulé La Mort en Champagne : étude de l’art funéraire aux XIIe et XIIIe siècles à l'Institut national du patrimoine.
En 2001, il devient conservateur au Musée de Cluny. Dix ans plus tard, c’est à lui que revient le projet ambitieux du Louvre Lens, en temps que directeur de l’établissement.
Ses qualités tant intellectuelles qu’humaines sont reconnues à l’étranger puisque qu’il devient directeur du département Art and Design du National Museum of Scotland à Édimbourg en 2016. En 2019, il rejoint Qatar Museums Authority comme directeur de l’Orientalist Museum, depuis renommé Lusail Museum.
Professeur d’Histoire et Géographie, doctorante en histoire moderne à Paris 1, Cécilia Elimort Trani a engagé une thèse sur Les mutations religieuses dans un monde colonial recomposé aux Petites Antilles (1789-1815), sous la direction de Pierre Serna (IHRF) et d’Erick Noël (Université des Antilles).
Elle a publié L’expérience coloniale et le fait missionnaire en Martinique (1760-1790) sur le socle de son master I.
Premier lauréat du prix du livre d’histoire des Outre- mer, ancien élève de l’École normale supérieure de Fontenay-Saint-Cloud, maître de conférence H.D.R à l’université de Paris 1 Panthéon Sorbonne, sa réputation l’a mené à assumer plusieurs fonctions comme celle Vice-président de l’Association pour l’étude de la colonisation Européenne ou présider l’Association régionale des professeurs d’Histoire- géographie de l’Ile-de-France. L’œuvre de Bernard Gainot se déploie à travers de nombreux titres dont L’atlas des esclavages aux éditions Autrement (2013) ou La Révolution des esclaves. Haïti, 1763-180, aux Éditions Vendémiaire (2017).
Pendant près de 20 ans, Gilda Gonfier a dirigé la médiathèque municipale de Gosier tout en étant engagée dans la vie culturelle et associative.
Avec Frédéric Régent et Bruno Maillard, elle a coécrit Libres et sans fers, paroles d’esclaves français (Fayard). Elle poursuit ses recherches en histoire sur les 20 dernières années de l’esclavage en Guadeloupe.
Maîtrise de droit public Université Antilles Guyane, Diplôme de Sciences Politique (IEP Toulouse), Gilda Gonfier tient depuis 2007 le blog qu'elle a créé "le petit lexique colonial" l'esclavage et la colonisation en lecture.
Elle a également à son actif une conférence TEDx en 2016 avec pour thème le conte comme éveil à soi même.
D'ailleurs son recueil de contes "le journal de la femme squelette" est publié en marathi par Vidya Vencatesan chef du département français de l'université de Bombay
Éric Jennings, professeur d’histoire contemporaine,
enseigne à l’université de Toronto. Spécialiste de la
colonisation française, il est l’auteur de plusieurs ouvrages,
publiés à la fois en langue française et en anglais. Trois de ses
précédents ouvrages ont été primés.
Eric Jennings est lauréat 2022 du Prix du livre d'histoire des Outre-mer
Conseiller scientifique au sein de l’association Protea, chercheur associé au Centre de Recherches sur les Sociétés de l’Océan Indien de l’Université de La Réunion et chargé d’enseignement à l’université de Paris-Est Créteil, ses recherches s’orientent sur les modes d’encadrement coercitif et les traitements judiciaires, domestiques et publics, des esclaves comme des engagés ainsi que sur les mutations des structures de "plantation".
Membre du comité scientifique du Grand Séminaire d’Histoire des Outre-Mer et membre du Comité National pour la Mémoire et l’Histoire de l’Esclavage, il dirige le festival du film documentaire historique de Saint-Denis, Les Révoltés de l’Histoire.
Helléniste et diplômée de Lettres classiques de l’Università degli Studi de Milan, Andrea Marcolongo a plusieurs ouvrages à son actif, dont "La langue géniale, 9 bonnes raisons d’aimer le grec", "La Part du héros" et "Etymologies pour survivre au chaos", tous parus aux Éditions Les Belles Lettres.
Elle est aujourd’hui traduite dans 28 pays et vit à Paris où en 2021 à été intronisée Écrivaine de la Marine Nationale avec le titre de capitaine de frégate. Son dernier ouvrage, "L’art de résister" est publié chez Gallimard.
Historienne de formation, Ariane Mathieu est spécialiste de la période khmère rouge au Cambodge.
Elle a travaillé à l’université Concordia (Montréal) sur la mise en place d’un centre d’histoire orale. En 2011, elle a suivi une partie du procès de Douch à Phnom Penh devant les CETC, le tribunal qui traduit en justice les principaux dirigeants encore en vie du Kampuchéa démocratique.
Elle a notamment participé à l’ouvrage dirigé par Pierre Bayard et Soko Phay-Vakalis, Cambodge, le génocide effacé (Éditions Cécile Defaut, 2013).
Depuis 2012, elle travaille à la revue L’Histoire, soucieuse de diffuser auprès du public le plus large la connaissance scientifique et la recherche universitaire française et étrangère.
Professeure des universités à l’université Paris IV-Sorbonne, médiéviste, agrégée d’espagnol, Corine Mencé Caster a été présidente de l’Université des Antilles et de la Guyane de 2013 à 2016.
Ses travaux s’intéressent à l’écriture de la domination dans les sociétés multiculturelles en Europe (Espagne médiévale des trois religions) et dans la Caraïbe francophone et hispanophone.
Elle a aussi publié, sous le pseudonyme de Mérine Céco, chez Écriture, un roman La mazurka perdue des femmes-couresse, prix Gilbert Gratiant du Salon International du livre, Martinique (2014) et Au revoir Man Tine, un recueil de nouvelles, finaliste du prix Carbet de la Caraïbe (2017).
Chevalier des Arts et Lettres, fondatrice de l’association Généalogie et Histoire de la Caraïbe et du site dédié – le plus ancien site de généalogie en France – Bernadette Rossignol a publié et publie toujours de très nombreux articles sur les personnes et familles des Antilles et de la Guyane.
Régulièrement sollicitée dans diverses revues des études comme Ascendance antillaise de Saint-John Perse (1982), ou plus récemment Une immigration réussie en Guyane au XVIIIe siècle : les Guadeloupéens (2017) font référence.
Elle a aussi classé et inventorié les archives de Gabriel Debien pour leur dépôt aux archives de la Gironde.
Membre du Comité National pour la Mémoire et l’Histoire de l’Esclavage, rédacteur en chef de la Revue du philanthrope, Éric Saunier a soutenu sa thèse sur la sociabilité maçonnique à l’université de Rouen, puis dirigé la publication de L’Encyclopédie de la Franc-maçonnerie (Hachette, 3e éd. 2008) avant de réorienter ses travaux vers l’étude des villes portuaires maritimes.
Inscrivant ces travaux dans le cadre de réflexion des "Atlantic studies", ces derniers montrent l’originalité des sociétés portuaires situées sur le littoral de la Manche.
Docteur en histoire, Caroline Seveno a exercé à l’université des Antilles et de la Guyane sur le pôle Guadeloupe.
Sa recherche portait sur l’histoire de la cartographie de la Caraïbe aux XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles dans une perspective comparative (France, Angleterre et Espagne).
Elle dirige depuis 2016, l’Encyclopédie numérique des îles de Guadeloupe (Guadeloupédia).
Michèle-Baj Strobel a vécu au Sénégal, aux Antilles (Guyane et Martinique ) avant de découvrir l’Asie et notamment le Laos.
Titulaire d'un doctorat d'ethnologie, et d'une maîtrise d'histoire de l'art et de lettres modernes, elle a enseigné dans les écoles d'art de Dakar, de Martinique et de Guadeloupe.
Son ouvrage Les gens de l’Or, paru dans la collection Terre Humaine a été unanimement salué par la critique et a obtenu le prix du livre d’histoire des Outre-Mer en 2019.
Membre du bureau et du comité de lecture de la Société française d’histoire des Outre-mers, dont il anime le site, Guillaume Vial est professeur d’histoire- géographie de lycée à Troyes. Ses recherches sur l’histoire de l’Afrique occidentale l’ont amené à s’intéresser à la culture lusophone et luso-africaine ainsi qu’aux notions de créolité et de métissage. Il vient de publier aux Nouvelles éditions Maisonneuve & Larose - Hémisphères Éditions, Femmes d’influence, Les signares de Saint-Louis du Sénégal et de Gorée, XVIIIe-XIXe siècle, Étude critique d’une identité métisse, 2019.
Myriam Zaine est présidente de l’association Atangana contre l’oppression et l’arbitraire fondée en 2014.
Cette association a vocation à lutter contre la détention arbitraire et faire appliquer les décisions du Groupe de Travail sur la Détention Arbitraire des Nations Unies (GTDA).
L’association est à l’origine de la proposition de loi no 2526 (Assemblée Nationale, 10 décembre 2019) qui vise à la mise en œuvre effective des décisions de l’ONU et à la protection des Français en mobilité internationale
Professeur des universités
Membre du Conseil supérieur de l’audiovisuel, Présidente du groupe de travail «Éducation, Protection des Publics et Cohésion Sociale», vice-présidente du groupe de travail «Télévisions»
Docteur en histoire, chercheur associé en archéologie et sciences de l’Antiquité, CNRS, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Directeur du Lusai museum, Qatar
Professeur d’histoire-géographie
Docteur en histoire, maître de conférences honoraire à l’Université de Paris 1 Panthéon Sorbonne et lauréat 2017 du Prix des Outre-mer
Co-auteur de Libres et sans fers : paroles d’esclaves, Fayard, directrice adjointe culture et sport à la Région Guadeloupe
Coprésidente
Docteur en histoire, chercheur associé à l’Université de la Réunion et chargé de cours à l’Université Paris-Est
Ecrivaine de la Marine
Chef de rubrique à L’Histoire
Professeur des universités en Études médiévales hispaniques, Université Paris- Sorbonne
Coprésident
Fondatrice et présidente de l’association Généalogie et Histoire de la Caraïbe, chevalier des Arts et des Lettres
Docteur en histoire, maître de conférences en histoire, Université du Havre, rédacteur en chef de la Revue du philanthrope
Docteure en histoire, maître de conférences associé en histoire à l’université des Antilles
Ethnologue.Lauréate du prix du livre d’histoire des Outre-Mer en 2019.
Professeur d’histoire-géographie, responsable du site de la Société française d’histoire des Outre-Mers
Représentante de l’Association Michel Thierry Atangana contre la Detention Arbitraire
Protection des Publics et Cohésion Sociale», vice-présidente du groupe de travail "Télévisions"
Docteur en histoire, chercheur associé en archéologie et sciences de l’Antiquité, CNRS, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Docteur en histoire, professeur d’histoire de l’audiovisuel, Université Paris Panthéon-Assas
Docteur en histoire, journaliste et fondateur de Storia Voce
Professeur d’histoire-géographie
Docteur en histoire, maître de conférences honoraire à l’Université de Paris 1 Panthéon Sorbonne et lauréat 2017 du Prix des Outre-mer
Co-auteur de Libres et sans fers : paroles d’esclaves, Fayard, directrice adjointe culture et sport à la Région Guadeloupe
Coprésidente
Journaliste à France-Antilles
Docteur en histoire, chercheur associé à l’Université de la Réunion et chargé de cours à l’Université Paris-Est
Chef de rubrique à L’Histoire
Professeur des universités en Études médiévales hispaniques, Université Paris- Sorbonne
Coprésident
Fondatrice et présidente de l’association Généalogie et Histoire de la Caraïbe, chevalier des Arts et des Lettres
Docteur en histoire, maître de conférences en histoire, Université du Havre, rédacteur en chef de la Revue du philanthrope
Docteure en histoire, maître de conférences associé en histoire à l’université des Antilles
Professeur d’histoire-géographie, responsable du site de la Société française d’histoire des Outre-Mers
Représentante de l’Association Michel Thierry Atangana contre la Detention Arbitraire
Docteure en histoire, Professeur émérite d’histoire contemporaine à l’Université de Toulouse Jean Jaurès, vice-présidente de la Société française d’histoire des Outre-Mers
Membre du Conseil supérieur de l’audiovisuel, Présidente du groupe de travail «Éducation, Protection des Publics et Cohésion Sociale», vice-présidente du groupe de travail «Télévisions»
Docteur en histoire, chercheur associé en archéologie et sciences de l’Antiquité, CNRS, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Docteur en histoire, professeur d’histoire de l’audiovisuel, Université Paris Panthéon-Assas
Maître de conférences, université de Paris I
Professeur d’histoire-géographie
Coprésidente
Journaliste à France-Antilles
Productrice délégué, La Fabrique de l’Histoire
Docteur en histoire, chercheur associé à l’Université de la Réunion et chargé de cours à l’Université Paris-Est
Chef de rubrique à L’Histoire
Professeur des universités en Études médiévales hispaniques, Université Paris- Sorbonne
Entrepreneur et enseignant
Coprésident
Fondatrice et présidente de l’association Généalogie et Histoire de la Caraïbe, chevalier des Arts et des Lettres
Docteur en histoire, maître de conférences en histoire, Université du Havre, rédacteur en chef de la Revue du philanthrope
Docteure en histoire, maître de conférences associé en histoire à l’université des Antilles
Docteure en histoire, Professeur émérite d’histoire contemporaine à l’Université de Toulouse Jean Jaurès, vice-présidente de la Société française d’histoire des Outre-Mers